Mais observons nos plats de plus près: qu’est-ce que la nourriture? Un composé de protéines, sels minéraux, sucres, graisses, vitamines, oligoéléments différemment associés, mais pas seulement. C’est aussi une provision de chaleur et d’énergie vitale indispensable à l’organisme.
C’est encore, pour le dire avec Hippocrate, un médicament, un remède, et parfois un poison potentiel! Dans ce cas, l’énergie que nous tirerons de l’aliment ne sera pas “propre” mais nous intoxiquera en provoquant différentes manifestations pathologiques, comme les
allergies alimentaire (urticaire, inflammation de la peau, des os, troubles respiratoires, digestifs et beaucoup d’autres encore).
Chaque système ou "organisme humain" devrait ne tirer de l’aliment que les
informations utiles (nourrissantes), compatibles; or, bien souvent, il en tire à son insu des incompatibilités qui se manifestent successivement par la maladie.
En effet, l’aliment (énergie) allergisant (non compatible) est vu par “l’ordinateur corps humain” comme un élément étranger, un danger, un stress.
D’où la réaction de défense (vomissement, diarrhée...), l’excès de défense (avec l’implication du système immunitaire allergie) et la “quasi défense” (intolérance ou sensibilité alimentaire, pseudo-allergie).